Un point d’ancrage antichute est un élément essentiel des systèmes de protection individuelle contre les chutes. Il s’utilise sur les toitures, les façades ou d’autres infrastructures. Ces dispositifs fonctionnent à la fois comme système de rétention et comme dispositif antichute, selon les besoins.
Les points d’ancrage, également appelés potelets, font partie des équipements de protection individuelle (EPI antichute). Ils protègent le personnel spécialisé en permettant de sécuriser leur harnais grâce à une connexion fiable.
Où et comment utilise-t-on un point d’ancrage ?
Ces dispositifs s’installent sur les surfaces de toiture, mais aussi dans divers secteurs industriels. Par exemple, on les retrouve sur les voies de cheminement des grues ou au-dessus de grandes machines et lignes de fabrication. Ils sont adaptés aux environnements où les opérateurs doivent travailler en hauteur en toute sécurité.
Pour les utiliser, l’utilisateur fixe son harnais antichute au point d’ancrage à l’aide d’un connecteur ou d’une longe conforme à la norme EN 362. En général, les points d’ancrage disposent d’un œillet ou d’une patte d’ancrage où un mousqueton s’attache facilement.
Rétention ou antichute : quelle fonction ?
En fonction de son usage, un point d’ancrage remplit deux rôles essentiels. Tout d’abord, en mode rétention, il empêche l’opérateur d’atteindre une zone dangereuse, comme le bord d’une toiture. Ensuite, en mode antichute, il amortit une chute éventuelle et réduit les risques d’impact mortel.
Grâce à leur polyvalence et à leur robustesse, les points d’ancrage garantissent la sécurité des travailleurs en hauteur et répondent aux exigences des normes de sécurité en vigueur.
